Une visite matinal

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Julian s’était réveiller dans un lit vide, sa femme était déjà partit au travail, mais quel heure était-il ?? A voir le rayonnement du soleil à travers les volets, surement vers les midis. Julian se leva vêtu de son boxer, après tout les enfants étaient tous à l’école donc il ne choquerait personne.

C’était dans ses moments là qu’il apprécié être seul, pas d’adolescent qui se hurlent dessus, pas de femme pour lui dire quoi faire, simplement lui et la solitude. Même si il aimait aussi parfois l’énergie que mettaient ses enfants dans la demeure Baker, il trouvait sa drôle des fois de les voir se chamailler pour la salle de bain, la télécommande ou tout simplement la voiture pour les plus grand. Maintenant il n’en restait plus que deux, qui par chance c’était ceux qui s’entendaient le mieux.

Mr Baker décida d’aller se doucher pour peut être sortir un peux après, surement faire des course, il fallait bien nourrir les bouches qui vivaient dans cette maison et comme souvent le soir la famille était réunis au grand complet, il fallait nourrir deux bouches de plus donc le frigo se vidait assez vite.

Arriver dans la salle de bain, il alluma l’eau chaude et l’eau froide pour obtenir une eau à bonne température et enleva son boxer pour se glisser sous l’eau. Cette chaleur lui procurait le plus grand bien, le réveillant un peux plus, de quoi être en forme pour la journée surtout quand les jumeaux rentreront à la maison.

Il sortit de la douche 20 minutes plus tard, tout propre et habiller puis alla se préparé un repas. Pour lui tout seul il n’allait pas faire compliquer, il sortit une boite de ravioli, du fromage râpé et hop dans le four. Pour attendre son repas, il alla se mettre devant la télé, une bière à la main et la télécommande dans l’autre. Mais son repos ne fut pas de longue duré car quelqu’un vint sonner à sa porte.

Il posa sa bière et la télécommande puis alla ouvrir.

En cette belle matinée, Brooke s'était levée tôt pour partir au travail. Elle avait du boulot si elle voulait réussir à remettre son entreprise à flot. Elle avait prit un petit déjeuné rapide et avait mis la vaisselle dans le lave-vaiselle. C'était vraiment une petite merveille. Son cher mari dormait encore quand elle partit au magasin. Là bas, elle travailla d'arrache-pieds. Entre les croquis, les commandes de tissus, l'inventaire, Brooke était surchargée de travail. Pourtant, elle privilégiait tout de même sa famille puisque chaque soir, elle rentrait assez tôt pour prendre le repas avec son mari et ses enfants. Midi. Brooke rajouta un dernier détail à son croquis avant de réaliser qu'elle avait oublié quelque chose à la maison. Quelque chose dont elle allait avoir besoin au courant de l'après midi. Elle allait donc devoir aller le récupérer. Elle soupira puisque cela ne lui faisait que perdre du temps! Elle se leva, prit son sac à main dans lequel elle y rangea rapidement son téléphone portable. Elle quitta ensuite la boutique, sans oublier de refermer à clés derrière elle, puis alla en direction de sa voiture. Elle mit sa ceinture et démarra. Arrivée devant chez elle, elle se gara et sortit de la voiture. Puis devant la porte, elle chercha dans son sac les clés de la maison. Elle ne les trouva pas. Oh! Quelle cruche! Décidement, elle avait drôlement la tête ailleurs ce jour là. Elle n'eut donc pas d'autre choix que de sonner à la porte, en espérant que son mari n'était pas partit faire des courses.

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Quand Julian ouvrit la porte, il fut surpris de découvrir sa propre femme derrière celle-ci, après tout, elle habitait dans cette maison, donc ça paraissait normal qu’elle est les clés, mais non elle avait sonné à la porte.

Julian regarda sa femme en souriant, il avait envi de jouer à un petit jeu, après tout, ils étaient jeunes enfin façon de parler. Il hésitait entre la laissé entrer ou la faire attendre devant la porte d’entrer. Etant donné que notre cher Julian Baker est un enfant dans l’âme, ce fut la seconde idée qui resta dans son esprit

-Bonjour mademoiselle, c’est pourquoi ??

Il savait au fond de lui que c’était quand même cruel, surtout de laisser une aussi belle femme comme ça à attendre de pouvoir rentrer dans sa propre demeure, mais que voulez vous, quand on aime, on pardonne vite, et Julian savait très bien que Brooke ne lui en voudrait pas, enfin il espérait au plus profond de son être qu’elle ne lui en voudrait pas.

Puis il entendit un petit bip, il se retourna et se rappela qu’il avait mis les raviolis dans le four, il retourna son regard vers sa chère femme qui attendait là puis lui déclara avec un sourire charmeur

-Excusez-moi, je reviens de suite.

Il laissa la porte ouverte et alla vite éteindre le four, puis sortit le plat encore chaud qu’il posa sur le comptoir à cuisine. Il releva son regard vers Brooke et vit, comme il s’en doutait qu’elle était rentrée en fermant la porte

-Oh mon amour !! Quelle bonne surprise, tu mange avec moi ??

Par peur de se faire envoyer balader, Julian portait sur son visage un petit sourire digne des enfants qui ont fait une bêtise et qui cherche à se faire pardonner par n’importe quel moyen.

"Bonjour mademoiselle, c'est pour quoi?" Non mais à quoi jouait il? Brooke regarda son mari avec des yeux interrogateurs d'autant qu'il s'excusa lui disant qu'il revenait tout de suite. La jeune femme ne comprenait pas grand chose mais bon. Julian partit dans la cuisine et Brooke entra, refermant derrière elle avant d'aller le rejoindre. Elle fut accueillie par un "Oh mon amour, quelle surprise! Tu manges avec moi?" Elle sourit , déposa son sac sur une petite armoire avant de se diriger vers son mari, un sourire aux lèvres. Elle l'embrassa tendrement avant de lui répondre:

-Je ne sais pas si un vilain garçon comme toi mérite que je mange avec lui...

Julian ne faisait que jouer ainsi, Brooke décida d'adopter sa manière. C'était vrai: il ne l'avait pas laissée entrer tout de suite alors pourquoi devrait elle lui consacrer du temps? C'était donnant-donnant. Mais il restait tout de même une chance pour Julian qu'elle change d'avis.

-A moins que tu ne trouves le moyen de te faire pardonner...

Le sourire qui s'afficha était malicieux. Ils étaient seuls à la maison et ce n'était que par hasard qu'elle était revenue, à cause d'un oubli idiot. Comment Julian allait il se rattraper? Tout cela restait bien sur à voir mais la jeune femme avait bien sur une petite idée derrière la tête, idée qui pour l'instant, restait dans la tête de Brooke. Mais peut-être que Julian y pensait lui aussi? Qui sait?

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Mme Baker s’avançait vers son mari, Julian ne bougeait pas gardant son sourire afficher sur son visage. Une fois arrivé devant lui, elle l’embrassa, chose que Julian attendait, il lui rendit son baiser en la rapprochant un peux plus de lui. L’amour qu’il avait pour elle n’avait pas changé depuis ces 17 longues années qu’ils avaient passé ensemble. Le regard qu’il portait sur elle était toujours celui d’un petit enfant qui découvre ses cadeaux le matin de noël, ou d’un homme posant son regard sur la plus belle chose qu’il puisse découvrir dans le monde.

Ses mains sur balader dans le bas du dos de sa femme, puis il recula légèrement son visage laissant son regard se perdre dans celui de Brooke, elle lui déclara qu’il ne méritait peut être pas de manger avec elle parce qu’il avait était vilain, de suite dans la tête de l’homme ça avait fait tic. Mais sa femme ne serait pas Brooke Davis si elle n’avait pas d’idée derrière la tête, car c’était le cas et il le savait très bien. Alors il se rapprocha encore un peux plus d’elle et lui chuchota au creux de son oreille

-Et si on laissait la nourriture pour aller faire un tour dans la chambre, j’ai changé les draps, tu devrais voir ils sont très beau

Puis il la lâcha et commença à s’éloigner lorsqu’il lui fit un clin d’œil en enlevant son haut en même temps

-Tu auras la suite si tu viens mon cœur, quand même faudrait pas que tu manque ça, qui sait je peux être un très bon model.

Un nouveau sourire se dessina, mais cette fois pas le sourire d’un petit enfant, au ça non, plutôt le sourire d’un grand enfant, un sourire qui laisse entendre qu’il va se produire des choses interdit aux plus jeunes. Cette chose que les parents font quand les enfants dorme, ou alors quand ils sont en cours comme ici présent pour Mr et Mme Baker. Après tout, ils sont encore jeune, enfin façon de parler, alors autant profiter de l’énergie qui leur reste encore dans le corps.

En effet, Brooke Davis n'était pas Brooke Davis si elle n'avait pas une idée derrière la tête. Et effectivement, l'idée qu'elle avait en tête n'était pas vraiment autorisée pour les jeunes gens et les parents font toujours cela quand les enfants ne sont pas à la maison ou quand ils dorment. Son mari enleva son haut après s'être éloigné en direction de leur chambre et Brooke put bien sur observer le torse bien bâti de Julian. Elle attendit quelques secondes, histoire de le faire patienter un peu avant d'aller le rejoindre dans la chambre. Julian était couché et Brooke sourit en fermant la porte derrière elle, même si ce n'était pas spécialement utile, étant donné qu'ils étaient seuls à la maison. Elle avait un sourire coquin sur les lèvres elle allant s'allonger sur son mari qu'elle embrassa tendrement. Elle enleva ensuite son haut, toujours en l'embrassant. Elle finit par dire:

-Sympas les draps....Ils valent le coup d'oeil et le détour.

Bien évidemment, elle ne faisait que reprendre ce que son mari avait dit quelques minutes auparavant. Malgré leurs longues années de mariage, rien ne s'était terni entre eux et la passion qu'ils avaient l'un pour l'autre les consummait toujours autant qu'au premier jour. Tandis qu'elle était sur lui et qu'elle l'embrassait, ses mains étaient posées sur le torse de son mari. Soudain, le téléphone de la maison se mit à sonner. Elle arrêta de l'embrasser et soupira en disant:

-Oh c'est pas vrai...

Peut-être que Julian décidera de ne pas laisse Brooke se lever pour aller répondre, préférant continuer ce qu'ils avaient commencer.

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Julian était partit s’allonger sur son lit afin d’attendre celle qu’il aimait. Il avait son haut d’enlever mais avait pris soin de garder son bas, après tout, ça ne serait pas drôle s’il avait tout enlevé d’un seul coup. Le plaisir dans l’amour c’était ça, se faire désirer sauf que Brooke ou Julian savait très bien se faire désirer par l’autre. Du coup, notre cher Mr Baker s’inquiétait sur le temps que mettrait sa femme à venir le rejoindre, ça pouvait prendre 10min comme plus en fonction de l’humeur de Brooke.

Par chance pour lui, il n’eut pas à attendre bien longtemps car Brooke arriva quelques minutes après lui. Toujours allonger sur le lit, il la regarda avec ce petit sourire coquin qui la fait craquer à chaque fois depuis 17ans. Il la regarda fermer la porte dont il ne compris pas pourquoi mais ce n’était pas grave et la vit s’allonger sur lui, ses mains se posèrent automatiquement sur les fessiers de sa chère femme et il la regarda droit dans les yeux. Ils commencèrent à s’embrasser, on ressentait bien dans ce baiser que l’amour était toujours bien vivant, que rien n’avait changé malgré le parcours qu’ils avaient parcourut. Puis le haut de Brooke se retrouva sur le sol, et elle lui déclara que les draps étaient sympa, alors qu’il savait très bien qu’elle parlait de lui alors il lui répondit en regardant le magnifique corps de sa femme

-Oh oui pour valoir le coup, ils le valent.

Il commençait à remonter ses mains vers les agrafes du soutient gorge de Brooke quand soudain le téléphone se mit à sonner. Julian se demanda s’il devait laisser Brooke allait répondre ou la garder contre lui, le geste qu’il fit fut la réponse car ce qui servait à cacher les seins de sa femme se retrouva détacher et enlever

-Laisse sonner ça sert à sa le répondeur.

Il passa sur elle afin de prendre possession, puis ses lèvres se posaient au niveau du nombril, tandis que les mains caressaient le haut du corps si doux qu’elle possédait.

C'est à ce demander comment un couple fait pour survivre à 17 ans d'une relation. L'amour ne ternit-il pas? Ne ternira-t-il jamais? C'est une question qui possède au moins le mérite de faire réfléchir. Comment un couple survit aussi longtemps, malgré tout les hauts et les bas qui pourraient le faire sombrer? Personne n'avait cette réponse, ne l'a aujourd'hui et ne l'aura un jour. Certains tiennent. D'autres non. C'est le court des choses. Tout dépend toujours des personnes, de leur caractère, et surtout de l'amour et de la confiance qu'ils éprouvent l'un envers l'autre. Le téléphone sonna et Brooke était prête à aller décrocher quand son soutien gorge fut enlevé par Julian et qu'elle se retrouva allongée sur le dos, son mari étant à présent sur elle. "Le répondeur sert à ca." Oui, il n'avait pas tort. Mais et si c'était important? il l'embrassa au niveau du nombril. Cela procurait déjà du plaisir à la femme qui se laissa faire. Ce n'était que le début...Mais le message du répondeur s'entendait et voila ce qu'il disait:

-Madame Baker, ici le siège de New-York. J'aurais besoin de vous parler pour savoir exactement quels vêtements vous souhaitez transférer jusqu'à Tree Hill. Et j'aurais également plusieurs questions à vous poser sur les tissus que vous comptez utiliser. Rappellez moi le plus vite possible. Au revoir et bonne journée.

Et voila. Ca aurait été un message important. Qui cassa d'ailleurs, si je puis dire, Brooke dans son élan. Elle soupira profondemment en regardant Julian. Elle aurait du décrocher. Bien sur, le regard de Brooke n'était pas plein de reproches, non. Elle en avait juste un peu marre d'être toujours dérangée, de tout le temps travailler. Elle aurait tellement voulu pouvoir passer une petite heure ou deux tranquille avec son époux. Elle lui sourit. Difficile de voir si ce sourire était plutôt triste ou mélancolique. Elle l'embrassa ensuite tendrement. L'élan était cassé, ca ne servait à rien qu'ils aillent plus loin. A moins que Julian ne la remette dans le "trip", ils allaient surement aller manger.

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Parfois le répondeur était utile, mais là, pour le coup, Julian aurait aimé qu’il s’éteigne accidentellement. En écoutant le message laisser par un membre de la société de Brooke à New York, Julian savait très bien qu’il avait fait une connerie en « l’obligeant » à resté dans le lit avec lui. Il s’en voulait mais ne le montrait pas, par contre il voyait bien que Brooke n’en avait plus envie, que cet appel avait complètement tout cassé pour ce merveilleux moments que le couple allait passer. Elle l’embrassa quand même un peux mais on le sentait bien qu’il n’y avait pas la passion qu’elle avait quelque minute avant le message. Il lui rendit quand même son baiser et la regarda droit dans les yeux en lui souriant

-T’inquiète pas mon amour, va rappeler c’est plus important. Tu dois relancer ta marque, on est jeune encore on en aura d’autre des possibilités pour faire des bébés.

Il lui fit un dernier baiser et alla mettre la table dans le salon afin de servir le repas qu’il avait préparé avant que sa femme n’arrive. Au fond même s’ils n’allaient rien faire, Julian était content de pouvoir manger seul à seul avec Brooke. Avec le boulot de Brooke, ils n’avaient pas la possibilité d’aller au restaurant, et les enfants étaient tous les soirs chez eux, que se soit les plus grands qui ne vivent plus là ou les plus petits. Le soir c’était là que la famille Baker était réunie au grand complet.

[HS] Pour une fois c'est petit, désoler...

Brooke soupira. Il y avait des jours où elle aurait tellement voulu ne pas travailler tellement. Elle aurait aimé que les choses soient différentes. Elle ne regrettait pas ses choix et ne disait pas qu'elle était malheureuse. Seulement, elle aimerait parfois pouvoir profiter plus de sa vie, avec son mari. Elle travaillait beaucoup et rares étaient leur moment d'intimité. Le soir, la famille était au grand complet, ce qui comblait Brooke de bonheur, bien sur. Mais le reste du temps, elle travaillait et les moments en tête à tête se faisaient de plus en plus rares pour le couple. Son mari était compréhensif, ce qui rassurait Brooke mais dans un sens, elle se sentait également un peu coupable. Elle lui sourit lorsqu'il lui dit d'aller rappeler, que c'était important. Elle se leva et prit son téléphone pour rappeller sa collègue. Elle lui donna tout les renseignements necessaires avant de raccrocher. Elle alla rejoindre Julian dans le salon qui préparait la table. Elle se mit derrière lui et passa ses bras autour de sa taille. Elle posa sa tête contre son dos. Ce dont Brooke avait envie, c'était de sentir les bras de son mari autour d'elle. Elle lui dit alors, avec un regard un peu triste:

-Quand j'aurais relancer la marque, je prendrais des vacances. Et on fera tout ce que tu voudras. D'accord?

Elle ne se sentait vraiment pas bien à l'idée qu'à cause d'elle, Julian ne puisse pas faire ce dont il a envie, qu'ils ne se voient pas plus souvent, tout cela l'embêtait. Elle resta comme ca contre lui.

[T'inquiète, c'est pas grave. Je gère Wink

Et ca arrive ^^]

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Julian mettait la table pendant que sa femme téléphoné à sa société afin de donner les renseignements dont ils avaient besoin. Pendant ce temps là il disposé deux assiettes avec des couverts pour lui et Brooke afin de pouvoir manger le repas qu’il avait préparé. Ce genre de moment était rare pour eux deux, même très rare étant donner que Brooke rentrer rarement le midi et que le soir il y avait les enfants, donc Julian comptait bien en profiter.

Il avait fini de mettre la table lorsqu’il vit les bras de sa chère et tendre s’entourer autour de sa taille et il sentit son visage se coller contre son dos. Il aimait ce genre de contact, il se tourna afin de se retrouver face à elle et lui sourie passant ses bras autour d’elle pour la sentir un peux plus contre lui

-Mon amour, je n’ai envie de rien à part voir notre famille heureuse. Je t’aime et ça ne changera jamais, nous n’avons pas de moment à nous mais les peux qu’on a me remplisse de bonheur.

Son visage se pencha vers celui de Brooke et il déposa un baiser sur les lèvres de sa femme avec le plus d’amour qu’il pouvait lui transmettre puis il se posa la question, pourquoi sa femme était-elle rentrer

-Chérie, je suis content de te voir, mais comment ça se fait que tu sois la ??

Il la regardait droit dans les yeux lui caressant le bas du dos.

Les moments de solitude pour le couple se faisaient très rares, et Brooke commençait à en avoir marre. Elle ne supportait plus vraiment de passer son temps à travailler. Bien sur, elle tenait à son entreprise, c'était pour cela qu'elle faisait ce qu'elle pouvait pour la remettre sur les chapeaux de roues. Mais son couple devait passer avant tout. Brooke était une femme déterminée qui avait beaucoup évoluée au fil des années. Son comportement avait changé et même si elle aimait son entreprise, son mari passait avant. Si Julian le lui demandait, elle serait prête à sacrifier son entreprise pour privilégier son couple, bien que cela lui couterait beaucoup de le faire. Il n'avait envie de rien d'autre que de voir sa famille heureuse? Elle aussi. Mais elle savait que si elle travaillait à longueur de journée, ca ne continuerait pas de cette manière longtemps. Réfléchissez: vous en connaissez beaucoup des couples dans lesquels la femme travaille sans arrêt sans que cela ne dérange l'homme? Maintenant, oui, il disait que les seuls moments seuls qu'ils possaidaient le comblait de bonheur. Mais d'ici quelques semaines? Quelques mois? Qui pouvait savoir combien de temps il faudrait à Brooke pour remmettre l'entreprise à flot? Personne. Pas même elle.

-T'es un ange. Mais même si maintenant ca ne te dérange pas, ca sera le cas d'ici quelques temps. C'est obligé...

Julian déposa un baiser sur les lèvres de Brooke et lui demanda ensuite, tout en lui caressant le bas du dos ce qu'elle était venue faire à la maison. C'était vrai que d'habitude, elle ne rentrait pas manger à midi. Elle lui adressa un sourire et lui répondit:

-J'ai réalisé que j'avais oublié quelque chose dont j'aurais besoin tout à l'heure. Et aujourd'hui, je suis particulièrement tête en l'air puisque j'ai également laissé mes clés à la maison.

La jeune femme rit. A quoi pensait elle pour être tellement tête en l'air? Ca, je le laisse dans le silence: c'est son petit secret

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On pouvait voir dans le regard de Brooke que quelque chose l’inquiéter, mais quoi ?? La réponse ne se fut pas attendre, elle déclara à Julian que d’ici quelque temps, il allait en avoir marre, surement de voir sa femme travailler et faire passer son couple après, mais cela importer peux à Mr Baker, il souhaitait au plus fond de lui voir l’entreprise de sa femme revenir sur les podiums, après cela tout reviendrait comme avant.

- Mme Baker, combien de fois devrais-je vous dire que je ne suis pas quelqu’un à aller voir ailleurs juste parce que ma femme est prise par son boulot ?? Je vous aime parce que vous êtes une battante, une femme qui fera tout pour obtenir ce qu’elle souhaite et c’est pour cela qu’aucune autre femme ne pourra me faire oublier l’amour que j’ai pour vous.

Un immense sourire se dessina sur les lèvres de Julian et il redéposa un baiser sur les douces lèvres de sa femme. Puis elle lui répondit qu’elle avait oublié quelque chose, et que depuis ce matin elle était très tête en l’air, la preuve elle avait oublié ses clés. Mais qu’est ce qu’elle avait bien pu oublier d’autre ?? Pas son portable, elle ne le quitte jamais, son sac à main…n’en parlons pas, mais alors quoi ??

- Ok tu as oublié autre chose mais quoi ?? Parce que te connaissant tu n’oublis jamais rien, ton portable tu l’a, ton sac à main le jour où tu l’oubli ce sera la fin du monde et te maquiller pareil.

Julian se mit à rigoler, la seule chose qui n’avait jamais changer chez Brooke Davis depuis le lycée était son apparence, on ne verrait jamais cette femme sans être maquiller ou mal habiller, c’est comme un principe chez elle. Surtout que maintenant c’est une mère de famille et une grande styliste, elle se doit d’être présentable.

Bien sur, Julian aimait sa femme, au moins autant que celle-ci ne l'aimait. Là n'était pas le problème. Combien de couples se sont déjà séparés parce que l'un des deux, voir les deux, travaillait de trop et que l'autre ne le supportait plus? Beaucoup. Ne pas forcément avoir une vie de famille, peu de gens le supporte et Brooke avait un peu peur, elle devait l'avouer. Après toutes ces années de vie commune, de mariage, elle ne voudrait pas qu'ils viennent à se séparer, ne supportant plus la vie qu'ils menaient. C'était peut-être complètement stupide mais en attendant, c'était comme ca. Alors oui, il l'aimait. Mais non, rien ne l'empêchait d'aller voir ailleurs s'il n'était plus satisfait de sa vie et qu'il voulait autre chose. Elle soupira puis Julian déposa un nouveau baiser sur les lèvres de la jolie brune. Puis il lui demanda ce qu'elle avait oublié, tout en mettant de l'humour dans ses paroles, détendant par la même occasion l'atmosphère. Sa remarque fit sourire Brooke, bien sur.

-J'avais oublié des documents dont je vais avoir besoin cette après-midi, rien de bien interessant mais pourtant tellement utile.

Elle l'embrassa avant d'aller s'asseoir et de servir le repas. L'un des rares qu'ils avaient en tête à tête. A la base, elle n'avait pas prévu de rester à la maison pour manger avec son mari, comme toujours elle aurait manger plus tardivement. Mais finalement, si elle ne retournait au travail que d'ici une heure ou deux, ce ne serait pas la fin du monde. Son entreprise pourrait bien attendre encore un moment, elle n'était plus à cela prêt. Elle commença à manger, bien qu'elle n'avait plus spécialement faim. Brooke sourit à son mari.

-Je retournerais pas travailler tout de suite. Que dirais-tu si on reprennait ce qu'on avait du arrêter avant?

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Alors comme ça elle avait oublié des documents, elle aurait pu appeler Julian pour qu’il lui apporte mais non elle était rentrée. Peut être avait-elle une idée derrière la tête, après tout, avec Brooke Davis enfin Brooke Davis Baker on peut s’attendre à tout.

En attendant Julian suivit Brooke vers la table avec le plat dans ses mains et le déposa sur la table puis se mit en face de sa femme. Il mit de la nourriture dans les deux assiettes puis commença à manger, il avait une faim de loup, comme à chaque fois en fait. Il dévora son assiette et se resservis, alors que Brooke manger lentement, à croire que le repas n’était pas bon, certes c’était des raviolis en boite, mais il avait fait l’effort de bien les préparer. Non quelque chose la travailler, ça se voyait sur son visage, mais quoi ??

Soudain elle regarda Julian et lui proposa d’aller finir ce qu’ils avaient commencé un peux plus tôt, avant d’être déranger par le coup de téléphone en fait. Bien évidemment, Julian ne pouvait dire non à cette offre. Il sourie à sa femme, se leva et lui tendit la main

- Mais ce sera avec plaisir que de retourner dans la chambre Mme Baker.

Julian et Brooke n’avait plus couché ensemble depuis un petit moment, tout leur moment avait disparut afin que Brooke relance l’entreprise, donc Julian avait pris son mal en patience, après tout il n’y a pas besoin de relation sexuelle pour aimer quelqu’un. Mais depuis un petit moment, Julian ressentait un manque, il souhaiter ravoir un enfant mais il n’en avait pas parlé à Brooke ne voulant pas l’inquiéter encore un peux plus.

Il faisait donc tout son possible pour paraître normal devant sa femme et ses enfants, surtout que pour Brooke ça avait était dur d’apprendre qu’elle ne pouvait pas avoir d’enfant. Ils avaient parcourut tellement de chemin ensemble, que les voir séparer était une chose inimaginable.

Brooke avait une chance immense d'avoir un mari tel que Julian Baker. Il avait tout fait pour permettre à Brooke de relancer son entreprise et ils en étaient même arrivés à sacrifier leurs moments d'intimité. Et jamais il n'avait reproché quoi que ce soit à sa femme, jamais il n'avait été désagréable envers elle alors qu'elle le privait de plusieurs choses comme de sexe, ou même simplement de moments en tête-à-tête. Brooke en avait un peu marre et elle avait décidé qu'une fois l'entreprise relancée, elle prendrait des vacances et passerait de longs moments avec Julian. Tellement de choses s'étaient passés entre eux qu'on se demandait comment ils avaient fait pour rester aussi longtemps mariés et comment leur bonheur durait. Il n'y avait bien sur pas de recette miracle. Ils s'aimaient, c'était aussi simple que cela. D'ailleurs, un proverbe ne dit il pas que "Quand on aime, on ne compte pas"? Brooke venait de proposer à son mari qu'ils reprennent là où ils avaient du malencontreusement s'arrêter plus tôt à cause d'un coup de téléphone. C'était dingue tout de même comment les gens avaient le don de téléphoner au mauvais moment! Julian ne pouvait évidemment pas refuser une telle proposition et il se leva puis tendit sa main à sa femme, que prit cette dernière pour se lever à son tour. Ils retournèrent dans la chambre et Brooke poussa son mari sur leur lit commun. Elle se retrouva rapidement à califourchon sur lui, à l'embrasser tendrement, ses cheveux pendant d'un côté et chatouillant peut-être Julian. Brooke ôta son haut puis recommença à l'embrasser tendrement avant de lui dire...

-Je t'aime tant Julian...

...son regard plongé dans celui de son tendre époux. Elle lui sourit doucement puis l'embrassa toujours aussi tendrement et passionnement.